MANCHESTER UNITED ET LIVERPOOL SE QUITTENT BONS ENNEMIS



Au terme d’un derby de petite cuvée marqué par un usage de la VAR à géométrie variable, Liverpool et Manchester United repartent d’Old Trafford avec un point chacun (1-1), avec des buts de Rashford et du revenant Lallana. Les Red Devils se satisferont de ne pas perdre la face devant le rival honni, toujours solide leader avec six points d’avance sur Manchester City.

La suite ? Cette insupportable VAR qui ne peut pas s’empêcher de s’inviter sur le devant de la scène et de faire oublier aux millions de suiveurs de ce choc qu’ils ont le droit de s’enthousiasmer pour les superbes gestes que les 22 vrais acteurs leur proposent. McTominay, James et Rashford nous offrent une petite merveille de contre conclue par le dernier nommé (1-0, 36e), mais tout le monde s’en fout bien vite : tous les yeux se tournent vers Martin Atkinson et son oreillette, dans l’attente de savoir si les arbitres vont sanctionner la faute de Lindelöf sur Origi au début de l’action. Non contente de faire oublier à tout le monde qu’on assiste à un match de football, la VAR réussit à se planter et à accorder le but. Fort.

Ô VAR, Ô désespoir

Alors que les discussions des bancs de touche, des spectateurs, des commentateurs et des gens devant leur télé ou leur vieux streaming tournent encore autour de cette brillante intervention de la VAR, TAA balance une ouverture millimétrée dans la course de Mané qui contrôle et trompe De Gea d’une frappe croisée. Et puis ? On vous le donne en mille, la VAR vient encore ramener sa fraise, et montre clairement que le contrôle du Sénégalais est entaché d’une main. Involontaire, certes, mais comme elle mène à un but, la nouvelle règle concoctée par ce cher board de la FIFA exige un « NO GOAL » que l’armada arbitrale – car on ne sait plus bien combien ils sont au juste pour être honnête – ne se gêne pas d’entériner. Pas besoin de vous dire que Jürgen Klopp fulmine, ni d’ajouter que les discussions pendant la pause parlent beaucoup plus de gens dans un camion que d’athlètes qui se passent un ballon de football.

La suite ? Cette insupportable VAR qui ne peut pas s’empêcher de s’inviter sur le devant de la scène et de faire oublier aux millions de suiveurs de ce choc qu’ils ont le droit de s’enthousiasmer pour les superbes gestes que les 22 vrais acteurs leur proposent. McTominay, James et Rashford nous offrent une petite merveille de contre conclue par le dernier nommé (1-0, 36e), mais tout le monde s’en fout bien vite : tous les yeux se tournent vers Martin Atkinson et son oreillette, dans l’attente de savoir si les arbitres vont sanctionner la faute de Lindelöf sur Origi au début de l’action. Non contente de faire oublier à tout le monde qu’on assiste à un match de football, la VAR réussit à se planter et à accorder le but. Fort.

Ô VAR, Ô désespoir

Alors que les discussions des bancs de touche, des spectateurs, des commentateurs et des gens devant leur télé ou leur vieux streaming tournent encore autour de cette brillante intervention de la VAR, TAA balance une ouverture millimétrée dans la course de Mané qui contrôle et trompe De Gea d’une frappe croisée. Et puis ? On vous le donne en mille, la VAR vient encore ramener sa fraise, et montre clairement que le contrôle du Sénégalais est entaché d’une main. Involontaire, certes, mais comme elle mène à un but, la nouvelle règle concoctée par ce cher board de la FIFA exige un « NO GOAL » que l’armada arbitrale – car on ne sait plus bien combien ils sont au juste pour être honnête – ne se gêne pas d’entériner. Pas besoin de vous dire que Jürgen Klopp fulmine, ni d’ajouter que les discussions pendant la pause parlent beaucoup plus de gens dans un camion que d’athlètes qui se passent un ballon de football.

Posted by on Oct 21 2019. Filed under Sports. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can leave a response or trackback to this entry

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