Le ‘CellSonic’ …Une onde de choc pour terrasser le cancer ?



Un ingénieur prétend que son appareil, le CellSonic, pourrait venir à bout du cancer. Abandonnez votre scepticisme. Car deux cliniques renommées commencent à parler de l’importance de cet appareil dans le traitement du cancer, mais en utilisation complémentaire avec d’autres approches.

De nos jours, sauf si vous formez partie d’un grand groupe pharmaceutique, prétendre avoir trouvé un remède contre le cancer est une chose périlleuse à faire, du moins dans les pays occidentaux. De courageux médecins pionniers l’ont appris à leurs dépens…

Or, un ingénieur, Andrew Hague, déclare hardiment que son appareil, CellSonic, est un remède contre le cancer. Son entreprise est basée aux Émirats Arabes Unis et en Inde, hors d’atteinte des autorités de santé américaines.

Hague, pense que le monde de la médecine se focalise trop sur l’aspect biochimique du corps humain, et se concentre ainsi sur les produits pharmaceutiques, avec leurs effets secondaires néfastes. En comparaison, les traitements axés sur la bioélectricité, en utilisant les fréquences électromagnétiques, ont peu ou pas d’effets secondaires connus.

Il faut savoir que le corps humain a une capacité naturelle à s’autoréparer, par exemple, en ce qui concerne les coupures, les os cassés et la régénération des muqueuses des intestins ou du foie. Les différences de potentiel électrique dans le corps favorisent la cicatrisation et la régénération. Et pourtant, on ignore cela dans le développement de nouveaux traitements.

Hague avait vu que des lithotripteurs, traditionnellement utilisés pour les calculs rénaux, pouvaient également être utilisés pour aider à guérir les blessures plus rapidement. Hague voyait plus grand. Se basant sur des travaux de médecins chinois, qui soutenaient que les ondes de pression, utilisés pour briser les calculs rénaux, pouvaient également tuer le cancer, il devait reconcevoir les lithotripteurs jusqu’à ce qu’il ait arrivé au CellSonic. Cet appareil utilise un courant électrique de 25 000 volts pour créer une onde de pression qui est canalisée dans le corps du patient.

C’est en novembre 2016 qu’une personne fut traitée pour la première fois avec le CellSonic. Un homme qui souffrait d’un cancer de la prostate qui se métastasait, fut ainsi traité avec l’appareil d’Andrew Hague dans un hôpital de Mumbaï. Selon Andrew Hague, après trois semaines seulement, le cancer avait disparu.

Toutefois, il y a encore une énorme incertitude sur l’effet réel de CellSonic sur les cellules cancéreuses.

Pour comprendre, il faut savoir que la membrane d’une cellule a un potentiel électrique : c’est la différence entre le nombre de particules chargées électriquement en dehors et en dedans de la membrane. Or, ce potentiel membranaire est une bonne indication si cette cellule est cancéreuse ou pas.

Il faut aussi savoir que des chercheurs de l’Université de York avaient émis l’hypothèse que le potentiel membranaire pouvait être utilisé comme marqueur de cellules cancéreuses et pouvait même être artificiellement altéré dans le but d’inhiber la croissance d’une tumeur et sa métastase (la prolifération de cellules cancéreuses dans le corps.

Le Dr. Andrew Dickens, du ‘Dayspring Cancer Clinic’ en Arizona, utilise le CellSonic librement pour traiter les plaies. Il ne traite pas le cancer avec le CellSonic, sauf avec le consentement du patient, et après que ce dernier ait été informé que le CellSonic n’est pas approuvé pour le cancer aux États-Unis.

Il suppose que les ondes créées par l’appareil provoquent un changement du voltage de la membrane des cellules cancéreuses. « Je pense que c’est un outil très puissant », déclare le Dr. Dickens dans la revue, « What doctors don’t tell you ». Pour lui, dans la lutte contre le cancer, « CellSonic is one of the big guns. »

Le Dr. Lloyd Jenkins, praticien à la clinique Budwig en Espagne, qualifie pour sa part le CellSonic d’outil de support très utile dans une approche à plusieurs volets pour combattre le cancer mais maintient qu’on ne peut pas l’utiliser isolément.

Le médecin fait état de deux patientes qui ont connu un important succès contre le cancer. Une femme, ‘Anna’, après quelques séances avec le CellSonic en février 2020, a vu son cancer régresser de près de moitié. Une autre femme, ‘Liliana’, avait un cancer du sein à un stade avancé. Après un traitement de deux semaines en utilisant le CellSonic, la tumeur n’était plus active, et avait été excisée par la chirurgie. La patiente est en bonne santé actuellement. Toutefois, le Dr. Jenkins réitère : « Il ne faut pas penser que c’est la solution miracle ».

(Source : What doctors don’t tell you, No 13 , août-septembre 2021)

Posted by on Aug 7 2021. Filed under En Direct, Featured, Santé. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can leave a response or trackback to this entry

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